"A vingt heures, ma grande étoile…"
Grande étoile, montre-moi, ton petit pas d’ange,
Tes pointes d’épines, ton élégance à la frange.
Crois-moi, ôte le velours de la louange,
Et ne pleure pas à ma venue, talentueuse ballerine.
Quand tôt, ton sourire où le bel automne se termine,
Vici par la bruine, elle burine ce visage de Proserpine,
Et m’enlève la plume, foulée par mon cœur sourd.
Hélas, vingt heures, sonate de mon tambour
Décorent un cavalier et sa pénitence.
Les mains muettes se hâtent au menuet de ma sentence.
Courage, monte, canto, mon nom éploré d’amour,
Ô grâce, danse, car l’eau s’élance et bientôt m’entoure.
Tes pointes d’épines, ton élégance à la frange.
Crois-moi, ôte le velours de la louange,
Et ne pleure pas à ma venue, talentueuse ballerine.
Quand tôt, ton sourire où le bel automne se termine,
Vici par la bruine, elle burine ce visage de Proserpine,
Et m’enlève la plume, foulée par mon cœur sourd.
Hélas, vingt heures, sonate de mon tambour
Décorent un cavalier et sa pénitence.
Les mains muettes se hâtent au menuet de ma sentence.
Courage, monte, canto, mon nom éploré d’amour,
Ô grâce, danse, car l’eau s’élance et bientôt m’entoure.
3Pt'it(s) message(s):
Bravo Judi,
Le dessin est aussi superbe que le texte.
Bravo Judi,
Le dessin est aussi superbe que le texte.
Merci Olivier,
je prends ton petit mot, comme pour me donner du courage et me dire que j'espère pouvoir me donner de plus en plus d'inspiration...
Encore merci
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